dimanche 23 mars 2014

Vol MH370 disparu: un satellite français repère des "objets flottants" - 23/03

vendredi 14 mars 2014

Le Boeing disparu se serait dirigé vers l'océan Indien

Des données radar suggèrent que le vol MH370 des Malaysia Ailrines qui a disparu samedi sans laisser de traces a été délibérément orienté vers les îles Andaman, selon deux sources proches de l'enquête.

Un avion non identifié qui pourrait être le Boeing 777 en question suivait un cap défini par des "waypoints", ce qui suppose que quelqu'un ayant des compétences en matière de pilotage se trouvait aux commandes lorsqu'il a été repéré pour la dernière fois par des radars militaires au large de la côte nord-ouest de la Malaisie, dit-on de mêmes sources.

Les recherches ont donc été renforcées en mer d'Andaman et dans l'océan Indien, ajoute-t-on. D'après un membre de la police malaisienne ayant requis l'anonymat, l'hypothèse selon laquelle une personne ayant des notions de pilotage aurait pris les commandes du vol Kuala Lumpur-Pékin serait de plus en plus en vogue. "Ce que je peux dire, c'est que nous cherchons du côte d'un sabotage, sans écarter la piste d'un détournement", a-t-il déclaré.


Près d'une semaine après sa disparition, le mystère reste entier sur le sort du vol MH370 qui effectuait la liaison Kuala Lumpur-Pékin avec 239 personnes a bord. Les recherches se sont concentrées dans un premier temps en mer de Chine méridionale, à l'est de la Malaisie, le long de la route que devait emprunter le Boeing 777. La dernière position connue de l'avion était située sur cette route initiale, à mi-chemin entre les côtes de Malaisie et du Vietnam.

Mais, selon le Wall Street Journal et la chaîne ABC, les enquêteurs pensent que l'avion a continué à voler durant cinq heures. Il a disparu des écrans radar une heure après son décollage de Kuala Lumpur. Les enquêteurs évoquent un signal automatique transmis par voie satellitaire par l'avion, pendant quelque quatre heures après avoir disparu des écrans radar. Ces systèmes ont régulièrement cherché à se connecter à un ou plusieurs satellites relais, selon ces mêmes sources.

Néanmois, le journal asiatique The Straits Times, a indiqué depuis son compte Twitter que la Malaisie, après vérifications avec Boeing et Rolls Royce, infirmait cette hypothèse 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/14/97001-20140314FILWWW00074-boeing-disparu-l-avion-se-serait-dirige-vers-les-iles-andaman-dans-l-ocean-indien.php

MH370 : les recherches étendues jusqu'à l'Océan indien

Après des informations américaines suggérant que l'appareil a continué de voler pendant plusieurs heures après sa disparition des écrans radars, la zone de recherches a été étendue à l'Océan indien.

Près d'une semaine après sa disparition, le mystère reste entier ce vendredi sur le sort du vol MH370 qui effectuait la liaison Kuala Lumpur-Pékin avec 239 personnes à bord, dont 227 passagers.

Dernier rebondissement en date : l'élargissement des recherches à l'Océan indien. Dans un premier temps, elles s'étaient concentrées en mer de
Chine méridionale, à l'est de la Malaisie, le long de la route que devait théoriquement emprunter le Boeing 777. La dernière position connue de l'avion était en effet située sur cette route initiale, à mi-chemin entre les côtes de Malaisie et du Vietnam.
Cinq heures de vol après la sortie de la zone radar ?
Mais, selon le Wall Street Journal et la chaîne ABC, les enquêteurs pensent que l'avion, qui a quitté la zone balayée par les radars environ une heure après son décollage, a en fait continué à voler pendant cinq heures. Ils évoquent un signal automatique transmis par voie satellitaire. Ce système a  notamment cherché à se connecter à un ou plusieurs satellites relais. S'il a effectivement continué de voler durant quatre heures à sa vitesse de croisière, l'avion a pu parcourir 2.200 milles supplémentaires et atteindre l'Océan indien, le Pakistan, voire la mer d'Arabie.

La Marine américaine a par conséquent ordonné à l'un de ses navires et à un avion de surveillance de se rendre dans cette zone où ils rejoindront un autre avion déjà sur place. De son côté, le gouvernement malaisien est au courant de ces informations et les examine. On ignore encore si le pays compte déployer ses efforts dans la nouvelle zone recherchée.
Zone immense
Les recherches couvrent désormais près de 27.000 milles nautiques (près de 90.000 km2, soit quasiment la surface du Portugal). Douze pays, dont les Etats-Unis, la Chine et le Japon, participent aux opérations qui mobilisent des dizaines de navires et d'avions.
 

jeudi 13 mars 2014

Vol MH370 : l'incroyable scénario des enquêteurs américains

Nouveau rebondissement dans l'enquête sur l'avion disparu samedi avec 239 passagers à bord... Des informations envoyées automatiquement au sol par le Boeing indiqueraient que l'appareil a continué à voler pendant 4h après le dernier contact radio.

Le brouillard autour de la disparition du Boeing 777 s'épaissit encore jeudi... Des enquêteurs américains pensent que l'avion aurait continué à voler quatre heures après le dernier contact radio, rapporte le Wall Street Journal. Ils se basent sur des informations envoyées automatiquement au sol par l'appareil. Si c'était avéré, l'avion, disparu samedi avec 239 passagers à bord, pourrait être n'importe où entre le Pakistan et l'Australie, comme l'explique Aviva Fried, correspondante de LCI en Chine .
Espoir déçu également jeudi. Une nouvelle piste semblait se dégager mercredi alors qu'un satellite chinois avait repéré en mer trois objets flottants qui auraient pu appartenir au Boeing 777 disparu il y a cinq jours après son décollage de Kuala Lumpur. Le Vietnam a indiqué jeudi que ses avions n'avaient pas repéré de débris dans la zone. "Nous avons envoyé ce matin deux avions AN-26 pour inspecter les zones maritimes près de l'île de Con Dao où trois objets suspects avaient été détectés par un satellite chinois. Ils sont revenus, sans avoir rien trouvé pour l'heure", a indiqué Dinh Viet Thang, vice-directeur de l'Aviation civile vietnamienne. Un avion malaisien dépêché dans la zone jeudi après-midi a fait le même constat : "Zéro observation", a écrit dans un SMS à l'AFP le chef des opérations aériennes côté malaisien, Affendi Buang.
Entrées dans leur sixième jour jeudi, les opérations de recherche ont été élargies à la mer d'Andaman, sur la côte occidentale de la Malaisie, loin de la trajectoire qu'était censé emprunter le vol MH370. Les Etats-Unis ont indiqué mercredi soir que leurs satellites espions n'avaient repéré aucune explosion aérienne lors de la perte de contact. Pour Interpol, la piste terroriste s'éloigne, mais la CIA refuse de l'écarter.  

•La Chine et la Malaisie garde espoir. La Chine "poursuivra ses recherches tant, tant qu'il y a une lueur d'espoir" a affirmé le Premier ministre Li Keqiang lors d'une conférence de presse, jeudi. "Nous ne renoncerons pas à enquêter sur le moindre indice potentiel qui aura été retrouvé", a-t-il souligné. La Malaisie avait déjà assuré qu'elle "ne perdra jamais l'espoir" de retrouver l'avion mercredi. Les opérations engagées pour localiser l'appareil  sont "sans précédent" et la Malaisie poursuivra les recherches tant qu'elles n'auront pas abouti, a déclaré le ministre malaisien des Transports.
• "Eh bien, bonne nuit". Ces mots ont été prononcés par l'un des pilotes au moment où le Boeing quittait l'espace aérien malaisien pour entrer dans l'espace aérien vietnamien, selon les propos de l'ambassadeur malaisien à Pékin, rapportés par le journal Straits Times de Singapour. C'est le dernier message radio transmis au contrôle aérien par l'avion porté disparu depuis samedi, selon le diplomate.

• Les experts perplexes face au mystère. Aucune piste sérieuse ne permet pour l'instant de comprendre les circonstances de la disparition du Boeing 777. Mais suivre le trajet d'un avion de ligne en vol est normalement possible grâce à Internet. Les dispositifs de transmission d'information de l'avion de la Malaysia Airlines auraient dû envoyer des données au sol. ........ LA SUITE SUR ..............
http://lci.tf1.fr/monde/asie/vol-mh370-aucun-debris-retrouve-dans-la-zone-indiquee-par-les-8381772.html

mercredi 12 mars 2014

Explosion d'un immeuble aux Etats-Unis: un mort et de 16 blessés au bilan provisoire - 12/03

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Breaking news : violente explosion à New York, deux immeubles s'effondrent

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Grosse explosion à New York, au moins un immeuble s'effondre

Une explosion a provoqué ce mercredi l'effondrement d'au moins un immeuble (deux selon certains médias locaux comme le New York Post) dans le quartier new-yorkais d'East Harlem (nord-est). «C'était un immeuble résidentiel. Les pompiers de New York sont actuellement en train d'éteindre le feu», a déclaré un porte-parole de la police. 168 pompiers sont mobilisés, l'un d'eux a été légèrement blessé dans l'incendie qui est peu à peu maîtrisé, selon les autorités. Une épaisse fumée se dégage toujours de la scène.
L'explosion s'est produite vers 9h30 du matin heure locale (15h30 heure française) près du bâtiment situé au 1646 Park Avenue, selon la police. Le bilan des victimes n'est pour l'instant pas connu, même si le New York Times évoque 11 blessés légers. Un témoin a expliqué sur CBS que «beaucoup de personnes» vivaient dans cet immeuble de six étages, dont un de ses amis. «J'ai peur, j'ai peur. Je suis sortie pour voir ce qui se passait», a-t-elle lancé. «J'ai vu une dame courir sans ses chaussures. C'était fou, on aurait dit une zone de guerre», a commenté un autre témoin. «J'ai d'abord cru que c'était un tremblement de terre», a-t-il ajouté.

Une fuite de gaz à l'origine de l'explosion?

Les autorités n'ont pas encore donné d'explications sur les causes de l'explosion, dans une ville hantée par le souvenir des attentats du 11 septembre 2001. «On sentait une odeur de gaz depuis des semaines», affirme en tout cas Ashley Rivera, 21 ans, interrogée par le New York Daily News. Elle indique avoir vu des personnes «sauter par les fenêtres», sans doute pour échapper aux flammes. Selon CNN, la comapgnie Con Edison (l'une des plus grandes sociétés par actions du secteur de l'énergie aux États-Unis) aurait été appelée peu avant l'accident pour une possible fuite de gaz.
Tous les trains en provenance et à destination du terminal Grand Central, situé à proximité des lieux de l'explosion, ont été suspendus temporairement, a annoncé la Metropolitan Transportation Authority.

http://www.lefigaro.fr/international/2014/03/12/01003-20140312ARTFIG00217-grosse-explosion-a-new-york-un-immeuble-s-effondre.php

Vol MH370 : une absence "très difficile" au lycée français de Pékin

L'émotion est très forte au Lycée français de Pékin où trois passagers du vol MH370 de la Malaysia Airlines étaient scolarisés. Leurs camarades de classe assurent que leur absence laissera "un grand manque" dans la classe.

Ils étaient quatre Français à bord du Boeing 777 de la Malaysia Airlines qui transportait 239 passagers de 14 nationalités différentes. Il s'agit d'une mère de famille et ses deux adolescents ainsi que d'une amie (franco-chinoise) des enfants. Anne, Ambre et Adrien étaient tous trois scolarisés au Lycée Français de Pékin, où une cellule psychologique a été ouverte, en pleines vacances scolaires. Persuadés qu'ils trouveront des chaises vides à la rentrée des classes, leurs camarades ont du mal à accuser le coup.
"Je pense que ce sera très difficile car il y aura un grand manque dans la classe", a confié l'une des lycéennes à la correspondante de LCI en Chine. "Ils comptaient beaucoup pour nous", assure un autre camarade qui estime que "la première chose à faire est d'apporter du soutien à la famille  et de laisser s'exprimer les proches, les amis".
L'inquiétude des familles
L'émotion est tout aussi présente au sein des familles des 153 passagers chinois qui avaient également embarqué dans l'appareil. Rongées par l'inquiétude, nombre d'entre elles se sont installées dans un hôtel près de l'aéroport de Pékin où elles attendent encore les informations sur ce qui est arrivé à leurs proches. La plupart ont refusé de prendre un avion de la  Malaysia Airlines pour se rendre à Kuala Lumpur, d'où avait décollé l'avion samedi.
Mais face au mystère de cette disparition qui ne cesse de s'épaissir depuis plusieurs jours, le  sentiment de colère commence également à émerger. Les familles chinoises reprochent  en effet à la compagnie de les laisser attendre dans l'angoisse, heure après heure, sans les tenir au courant de l'avancée des recherches. 
 

mardi 11 mars 2014

Vol MH370 disparu : la Chine déploie des satellites pour retrouver l'avion

La disparition du Boeing 777 de la Malaysia Airlines samedi reste un mystère. Aucune trace de l'avion qui ransportait 239 personnes à son bord n'a pu être identifiée. Les recherches ont été étendues et la Chine a déployé des satellites dans l'espoir de localiser l'appareil.

En mer, sur Terre et même depuis l'espace : les recherches s'intensifiaient mardi pour localiser le Boeing 777 de la Malaysia Airlines qui a mystérieusement disparu avec 239 personnes à bord depuis plus de trois jours peu après son décollage de Kuala Lumpur. Des dizaines de navires, d'avions et d'hélicoptères de neuf pays (notamment Chine, Etats-Unis, Vietnam, Malaisie, Philippines, Singapour) participent aux opérations. Le vol MH370, parti de Kuala Lumpur à destination de Pékin avec 239 personnes à bord, a brusquement disparu des radars dans les premières heures de samedi, alors qu'il se trouvait quelque part entre la côte orientale de la Malaisie et le sud du Vietnam. Les circonstances de la disparition de l'appareil continuent de nourrir les spéculations, entre les pistes d'une avarie mécanique et d'un attentat.

• Dix satellites chinois redéployés pour localiser le Boeing. La Chine, dont 153 ressortissants se trouvaient à bord de l'appareil et qui reproche à la Malaisie de n'avoir pas immédiatement engagé tous les moyens nécessaires, a annoncé mardi le redéploiement de dix satellites pour appuyer les secours. Ces satellites à haute résolution serviront notamment à l'aide à la navigation, l'observation des conditions météorologiques, les communications.

• Le Vietnam étend sa zone de recherche. Le vice-ministre vietnamien des Transports Pham Quy Tieu a annoncé mardi que Hanoï allait étendre ses opérations "vers l'est et le nord-est", dans deux zones séparées, précisant avoir demandé l'aide des pêcheurs de la région.
 
 
 
 

lundi 10 mars 2014

Boeing disparu : l'équipage d'un avion de Hong Kong signale de nombreux débris

Enfin une piste dans le cadre des recherches du 777 de Malaysia Airlines ? L'équipage d'un de ligne de la Cathay Pacific qui reliait Hong Kong à Kuala Lumpur a signalé ce lundi aux autorités qu'il a repéré de nombreux débris au large de la province vietnamienne de Vung Tau. 

«L’aviation civile de Hong Kong confirme le rapport du
Cathay Pacific signalant de très nombreux débris», révèle le compte Twitter infos140
Jusqu'à présent, les secours n'avaient rien retrouvé.

Le personnel de la Cathay Pacific a repéré les débris à 9,54 degrés de latitude nord et 107,25 degrés de longitude est, une zone située à 500 km de l'endroit où le vol MH370 a disparu des écrans radars. Cette zone ne correspond pas au plan de vol du Boeing de la Malaysia Airlines qui aurait dû survoler Ho Chi Minh Ville (Vietnam). Elle se situe à 125 km au sud-est de la trajectoire normale,
selon le South China Morning Post.

Des bateaux se sont déjà déroutés pour inspecter les lieux.
Les recherches pour localiser le Boeing disparu dans la nuit de vendredi à samedi ont été largement étendues, après trois journées d'opérations infructueuses, en l'absence de toute trace de l'avion.

L'appareil emmenait à Pékin 227 passagers de 14 nationalités et 12 membres d'équipage. Le Boeing 777-200 transportait donc 239 personnes, dont deux enfants en bas âge. Outre 153 Chinois et 4 Français (dont trois élèves du Lycée français international de Pékin), se trouvaient à bord 38 Malaisiens, sept Indonésiens, six Australiens et trois Américains.

«La zone de recherche a été étendue en mer de Chine méridionale» de 50 milles marins (environ 90 km) à 100 milles de rayon autour du lieu où le contrôle aérien a perdu le contact avec l'appareil, entre l'est de la Malaisie et le sud du Vietnam, a déclaré le chef de l'aviation civile malaisienne, Azharuddin Abdul Rahma.

Au total, des dizaines de navires, d'avions et d'hélicoptères de divers pays (notamment Chine, Etats-Unis, Vietnam, Malaisie, Philippines, Singapour) participent aux opérations.

Le Pentagone annonce ce lundi que la Marine américaine va envoyer un second navire en Mer de Chine méridionale afin de participer aux recherches. Le destroyer USS Kidd va rejoindre sur la zone de recherches un autre destroyer déployé samedi, le USS Pinckney.

• L'hypothèse du demi-tour. Azharuddin Abdul Rahma a confirmé que les opérations avaient déjà été étendues la veille à la côte ouest de la Malaisie et à la terre, alors que l'armée malaisienne a évoqué la «réelle possibilité» que le vol MH370 qui faisait la liaison entre Kuala Lumpur et Pékin ait fait demi-tour. L'extension substantielle de la zone de recherche témoigne de la perplexité des autorités après la disparition mystérieuse de l'avion, disparu des écrans radars environ une heure après son décollage. Mais un demi-tour aurait dû déclencher des alertes, alors qu'aucun signal de détresse d'aucune sorte n'a été envoyé par le pilote expérimenté.

• La traînée de carburant ne vient pas de l'avion. Les analyses d'une nappe de carburant détectée en mer près du point possible de disparition du Boeing ont révélé qu'il ne provenait pas de l'avion. «Ce carburant n'est pas utilisé par les avions» mais par les navires, a déclaré la porte-parole de la police maritime malaisienne, Faridah Shuib.

• Des premiers débris qui ne sont pas ceux du Boeing.  La journée de lundi a donné lieu à une série d'annonces contradictoires sur de possibles débris détectés dans cette zone, une situation difficile à supporter pour les familles. La Malaisie a en particulier annoncé que des bateaux avaient été envoyés pour vérifier la présence d'un possible radeau de sauvetage, mais un navire vietnamien arrivé sur place n'a trouvé qu'«une couverture moisie pour enrouleur de câble».

• La Chine en colère. Alors que de nombreux proches des passagers ont exprimé leur frustration et leur colère, la Chine, inquiète pour ses 153 ressortissants à bord, a réclamé une intensification des opérations. «La Malaisie attache de l'importance à cet accident (et fait preuve) d'une attitude sincère», mais elle «doit intensifier ses efforts», a déclaré Qin Gang, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères. Une équipe de responsables chinois était également en route lundi pour enquêter et apporter un soutien aux familles. A Pékin, des responsables malaisiens ont, eux, examiné les demandes de visas de proches de passagers en pleurs et frustrés, voulant se rendre à Kuala Lumpur.
Une famille chinoise aurait réussi à faire sonner samedi avec succès le téléphone mobile d'un passager à bord de l'avion de Malaysia Airlines explique le Sunday Times. D'autres membres des familles ont demandé à la compagnie d'utiliser la technologie satellite pour capter les signaux de téléphonie mobile des passagers.

• La piste terroriste. La Malaisie a lancé une enquête pour terrorisme après la découverte qu'au moins deux passagers avaient embarqué avec des passeports volés. Un Autrichien du nom de Christian Kozel et un Italien du nom de Luigi Maraldi apparaissent sur la liste des passagers, mais ils n'étaient pas à bord. Tous les deux se sont fait voler leur passeport en Thaïlande en 2012 et 2013. La présence dans l'avion de ces deux passagers voyageant avec les passeports volés soulève des interrogations. Les autorités malaisiennes, qui ont annoncé avoir identifié un des deux sans donner de détail, ont démenti de précédentes informations disant que les deux hommes avaient des «traits asiatiques». La police thaïlandaise a de son côté annoncé une enquête sur un possible trafic de passeports. Les Américains ont envoyé des agents du FBI en Malaisie, tout en soulignant qu'il n'y avait à ce stade aucune preuve de terrorisme.

• Pourquoi ne reçoit-on aucun signal des émetteurs ? L'émetteur de localisation d'urgence (Emergency Locator Beacon, ELT) de l'avion «ne se déclenche pas forcément tout le temps. Il devrait fonctionner la plupart du temps», relève Gerry Soejatman, un expert indépendant basé en Indonésie. Quant à la fameuse boîte noire, ou «enregistreur de vol», elle devrait envoyer un signal depuis le fond de la mer détectable à l'aide d'un sonar.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/boeing-disparu-l-equipage-d-un-avion-de-hong-kong-signale-de-nombreux-debris-10-03-2014-3660201.php

Les mystères du vol MH-370

Pas de trace confirmée de l’avion

Il n’y a toujours aucune trace avérée du vol MH-370. "Nous n'avons rien trouvé qui semble provenir de l'appareil, encore moins l'appareil lui-même", a déclaré lundi le directeur de l'aviation civile malaisienne, Azharuddin Abdul Rahman après que des possibles débris du Boeing 777 de Malaysia Airlines avaient été aperçus dimanche au large du Vietnam
Le fioul qui avait été repéré en mer, dans la zone possible de l’accident, n’appartient également pas au Boeing 777. "Ce carburant n'est pas utilisé pour les avions" mais pour les navires, a déclaré la porte-parole de la police maritime malaisienne, Faridah Shuib. La nappe de fioul se trouvait à environ 185 kilomètres des côtes orientales de la Malaisie.
En outre, l’objet flottant à la surface ressemblant à un radeau de survie n’en était pas un. L'Autorité de l'aviation civile du Vietnam a finalement annoncé qu'il ne s'agissait pas d'un canot de sauvetage mais d'une "capsule couverte de mousse d'une bobine de câble".

L’absence de message d’alerte

A aucun moment, l’avion n’a émis de message d’alerte. Ce qui pourrait accréditer l’idée d’une explosion en vol. "Le fait que nous soyons toujours incapables de trouver des débris semble indiquer que l'appareil s'est probablement désintégré à environ 35.000 pieds (Ndlr : son altitude de croisière)", selon une source proche de l’enquête citée par Reuters.
L'armée malaisienne, citant des analyses radars, avait évoqué dimanche l'hypothèse que l'avion ait fait demi-tour vers Kuala Lumpur. Mais un demi-tour aurait dû déclencher des alertes, alors qu'aucun signal de détresse d'aucune sorte n'a été envoyé par le pilote expérimenté.
 

Les deux passeports volés

Selon les autorités malaisiennes, quatre personnes suspectes étaient présentes à bord dont au moins deux ayant embarqué avec de faux passeports européens. Il s’agit d’un Autrichien du nom de Christian Kozel et d'un Italien du nom de Luigi Maraldi. Leurs noms apparaissent sur la liste des passagers, mais ils n'étaient pas à bord. Tous les deux se sont fait voler leur passeport en Thaïlande en 2012 et 2013. Lundi, le chef de la police Malaisienne a annoncé que l’un des deux utilisateurs du passeport volé avait été identifié.

Cinq passagers n’ont pas embarqué

Les autorités locales ont indiqué que cinq passagers munis de billets avaient enregistré leurs bagages sans se présenter à l'embarquement. Malaysia Airlines assure cependant avoir isolé ces bagages dès que leur absence a été constatée, avant le décollage de l'avion.

Le téléphone qui sonne dans le vide

Une famille chinoise a réussi dimanche à faire sonner le téléphone mobile d’un passager à bord du vol MH-370, a annoncé dimanche le Stasia Report. La personne n’a pas décroché. La séquence a été diffusée dimanche à la télévision chinoise. Des membres des familles des possibles victimes ont demandé à la Malaysia Airlines d'utiliser la technologie satellite pour capter les signaux de téléphonie mobile des passagers avant que leurs téléphones n'aient plus de batterie.
 

Vol MH370 disparu en mer de Chine : la nappe de carburant ne provient pas du Boeing

La nappe de carburant observée au large de la Malaisie est sans rapport avec le Boeing 777 de la Malaysia Airlines disparu samedi, selon des analyses faites ce lundi. Les autorités malaisiennes ont déclaré un peu plus tôt n'avoir encore découvert aucun débris de l'avion qui transportait 239 personnes à son bord, ni n'avoir aucune piste privilégiée. Une enquête pour terrorisme a toutefois été ouverte dimanche.

La nappe de carburant au large de la Malaisie ne provient pas du Boeing. Le fioul prélevé en mer sur une nappe dérivant au large de la Malaisie n'appartient pas au Boeing 777 de la Malaysia Airlines qui a disparu samedi avec 239 personnes à bord, ont révélé lundi les analyses. "Ce carburant n'est pas utilisé pour les avions" mais pour les navires, a déclaré la porte-parole de la police maritime malaisienne, Faridah Shuib. La nappe de fioul se trouvait à environ 185 kilomètres des côtes orientales de la Malaisie, non loin de l'endroit où le contrôle aérien a perdu le contact avec l'appareil.
L'objet repéré n'est pas un canot de sauvetage. L'objet flottant repéré au large du Vietnam n'est pas un radeau de survie embarqué à bord des avions de ligne, ont annoncé lundi les autorités vietnamiennes. Les enquêteurs de l'aviation civile vietnamienne avait formé l'hypothèse que cet "objet jaune" non identifié, repéré un peu plus tôt, était peut-être un canot de sauvetage du vol 370 de la Malaysian Airlines. Mais les équipes héliportées sur la zone ont permis d'écarter cette hypothèse, indique l'aviation civile.

Un mystère qui perdure. "Nous cherchons tout azimut. Nous examinons toutes les hypothèses". Mais les recherches engagées pour retrouver le Boeing 777 de Malaysia Airlines disparu depuis plus de 48 heures n'avaient donné aucun résultat lundi à la mi-journée, a annoncé un responsable malaisien. "Malheureusement (...) nous n'avons rien trouvé qui semble provenir de l'appareil, encore moins l'appareil lui-même", a déclaré le directeur de l'aviation civile malaisienne, Azharuddin Abdul Rahman.
Des débris au large du Vietnam ? "L'aviation vietnamienne a repéré dimanche soir de possibles débris de l'avion au large de sa côte sud mais là encore aucune confirmation n'a été apportée", a-t-il ajouté. L'aviation vietnamienne a repéré dimanche soir à 80 km de l'île de Tho Chu, au large de sa côte sud, deux objets qui pourraient provenir du vol MH370 qui effectuait la liaison entre Kuala Lumpur et Pekin avec 227 passagers de 14 nationalités, dont 153 Chinois et quatre Français, et 12 membres d'équipage. "Nous avons observé plusieurs objets mais aucun d'eux pour le moment (n'a été confirmé comme provenant) de l'appareil", a souligné Azharuddin Abdul Rahman.
 

dimanche 9 mars 2014

Boeing de Malaysia Airlines : les passagers avec un passeport volé ont acheté leurs billets ensemble

Les deux passagers qui voyageaient avec un passeport volé sur le vol MH370 de Malaysia Airlines ont acheté leurs billets ensemble, selon CNN. Les billets ont été achetés à la compagnie China Southern Airlines et sont mitoyens, indiquant qu'ils ont été émis ensemble. L'itinéraire de ces deux billets continuait après Pékin, destination du vol MH370, à Amsterdam. Le billet acheté avec un passeport italien continuait jusqu'à Copenhague, celui acheté avec un passeport autrichien, à Francfort. Des agents du FBI participent aux investigations. Les deux passeports auraient été volés au même endroit, sur l'île de Phuket , en Thaïlande.
La Malaisie a lancé dimanche une enquête pour terrorisme après la disparition la veille du Boeing 777 de Malaysia Airlines, avec 239 personnes à bord dont deux passagers ayant embarqué avec des passeports volés italien et autrichien.  40 navires et 22 avions d'une équipe internationale poursuivent actuellement les investigations dans la très vaste zone où le Boeing a disparu. Des avions de secours vietnamiens ont repéré deux nappes de carburant, longues de 15 km, et une colonne de fumée au large du Vietnam
Un citoyen chinois, dont le numéro de passeport figurait dans la liste des passagers du vol de Malaysia Airlines disparu samedi, n'était pas à bord de l'avion, a rapporté dimanche un média officiel.
Le détenteur du passeport portant ce numéro habite la province du Fujian (est) et s'y trouve toujours, a indiqué l'agence officielle Chine nouvelle, citant des informations de police. Aucun départ à l'étranger le concernant n'a été enregistré par les autorités, et le propriétaire assure que son passeport n'a jamais été perdu ou volé, a ajouté l'agence.
Par ailleurs, son nom ne correspond pas au nom du passager communiqué par Malaysia Airlines, associé dans la liste de la compagnie à ce numéro de passeport, a insisté Chine nouvelle.
http://www.sudouest.fr/2014/03/09/boeing-de-la-malaysia-airlines-les-passagers-voyageant-avec-un-passeport-vole-ont-achete-leurs-billets-ensemble-1485338-4803.php

Avion de Malaysia Airlines disparu: "La piste terroriste est très crédible" - 09/03

Disparition d'un avion Malaysia Airlines: qui sont les Français qui se trouvaient à bord? - 09/03

Vol MH370 : piste de l'attentat envisagée, quatre passagers suspectés

Le ministre malaisien des Transports a annoncé qu'un enquête pour terrorisme était ouverte après la disparition du Boeing 777 de Malaysia Airlines. Quatre hommes sont suspectés.

La Malaisie a lancé une enquête pour terrorisme après la disparition samedi d'un Boeing 777 de Malaysia Airlines avec 239 personnes à bord, dont des passagers mystérieux qui auraient utilisé des passeports volés, tandis que le FBI américain va envoyer des enquêteurs.
Les inquiétudes liées à une possible attaque terroriste ont augmenté après  l'annonce par le gouvernement d'une enquête sur quatre personnes suspectes à  bord du vol MH370 faisant la liaison entre Kuala Lumpur et Pékin. Parmi eux, au moins deux passagers ont utilisé des passeports européens volés.
"Nos services de renseignement ont été mobilisés et bien sûr les agences de  contre-terrorisme (...) de tous les pays concernés ont été informées", a déclaré dimanche le ministre malaisien des Transports Hishammuddin Hussein.
Deux passagers aux passeports volés
Le vol MH370, qui transportait 227 passagers de 14 nationalités, dont 153  Chinois et quatre Français, et 12 membres d'équipage, semble avoir perdu le  contact avec le contrôle aérien quelque part entre l'est de la Malaisie et le sud du Vietnam, sans avoir envoyé de signal de détresse.
Il avait disparu des écrans radars samedi vers 01h30 (17h30 GMT vendredi),  soit environ une heure après son décollage. Alors que les opérations de recherche maritimes et aériennes n'ont pour l'instant pas permis de localiser l'appareil, Malaysia Airlines a souligné dimanche "craindre le pire".
Des avions vietnamiens à la recherche de l'appareil avaient repéré samedi deux traînées parallèles de carburant de 15 à 20 kilomètres de long en mer de Chine du sud, toujours présentes dimanche. Mais les navires arrivés sur place n'ont pas trouvé trace du Boeing, selon un haut responsable vietnamien.
"Nous n'avons pas pu localiser, voir quoi que ce soit", a de son côté déclaré dimanche le patron de l'aviation civile malaisienne Azharuddin Abdul Rahman. Si l'avion s'est abimé en mer, il pourrait s'agir de la catastrophe aérienne la plus meurtrière d'un avion de ligne depuis 2001, date de l'accident d'un Airbus A-300 d'American Airlines qui avait fait 265 morts aux Etats-Unis.
Les spéculations se sont multipliées autour des deux passagers aux passeports volés. Un Autrichien du nom de Christian Kozel et un Italien du nom de Luigi  Maraldi apparaissent sur le manifeste, mais aucun d'eux n'était à bord, selon  des responsables, et tous les deux se seraient fait voler leur passeport,  respectivement en 2012 et 2013.
Des agents et experts du FBI sur place
"Nous sommes au courant des informations sur le vol de deux passeports. Nous n'avons pas trouvé de lien avec le terrorisme, bien que ce soit trop tôt et en aucune façon définitif", a déclaré un responsable américain à Washington.
Selon la presse américaine, les Etats-Unis, qui avaient trois ressortissants à bord, vont dépêcher des agents et des experts du FBI pour enquêter. "Juste parce que (les passeports) ont été volés ne veut pas dire que les voyageurs étaient des terroristes", a tempéré un haut responsable du Département de la Sécurité intérieur au Los Angeles Times, notant qu'ils pouvaient simplement être des "voleurs".
Samedi, le Premier ministre malaisien Najib Razak, interrogé sur l'éventualité d'une action terroriste, avait noté que le gouvernement étudiait "toutes les possibilités" mais qu'il était "trop tôt pour spéculer".
Opérations de recherche
Des opérations de recherche maritimes et aériennes ont été lancées par  plusieurs pays, dont certains se disputent la souveraineté de certaines zones  de mer de Chine méridionale.
La Chine, le Vietnam, la Malaisie et les Philippines ont déployé navires, avions ou hélicoptères. Les Etats-Unis ont également envoyé un destroyer avec deux hélicoptères à bord.
L'avion, un Boeing 777-200 de plus de onze ans avec un pilote employé par Malaysia Airlines depuis 1981, transportait 227 passagers dont deux enfants en  bas âge, et 12 membres d'équipage malaisiens, selon la compagnie.
Parmi eux, outre les 153 Chinois et quatre Français (dont trois élèves du lycée français de Pékin), se trouvaient 38 Malaisiens, sept Indonésiens, six Australiens et trois Américains. Vingt employés d'une société texane de semi-conducteurs (12 Malaisiens et 8  Chinois) étaient à bord. Les familles des passagers attendaient toujours dans l'angoisse dimanche dans un hôtel près de l'aéroport de Pékin. "La compagnie ne nous a pas contactés, c'est un ami qui nous a prévenus", a  déclaré une femme en pleurs, dont le beau-frère était à bord.
Si la catastrophe était confirmée, ce pourrait être l'accident le plus grave d'un Boeing 777, qui a connu un seul crash mortel en 19 ans d'histoire, avec trois morts à l'aéroport de San Francisco en juillet 2013.
Malaysia Airlines (MAS) a enregistré peu d'accidents. Le pire désastre de ses 66 ans d'histoire avait eu lieu en 1977, lorsqu'un appareil s'était écrasé dans le sud de la Malaisie après un détournement, faisant 100 morts.
 

samedi 8 mars 2014

Disparition de l'avion de la Malaysia Airlines : qui sont les 4 Français à bord ?

Le gouvernement français a confirmé que quatre Français faisaient partie des passagers du vol MH370, qui a disparu entre Kuala Lumpur et Pékin.

Le Boeing 777 de la Malaysia Airlines qui est porté disparu depuis samedi matin, heure locale, quelque part entre Kuala Lumpur et Pékin, transportait 227 passagers et 12 membres d'équipage.
Parmi ces 239 personnes, figuraient quatre Français, selon Hélène Conway-Mouret, la ministre déléguée chargée des Français de l'étranger. Il s'agit d'une mère de famille et  de ses deux enfants ainsi qu'une troisième adolescente, de nationalité franco-chinoise, qui voyageait avec eux. "Les trois ados sont élèves au Lycée français de Pékin et la maman est très impliquée dans la vie du lycée en tant que vice-présidente de l'association des parents d'élève", souligne Hélène Conway-Mouret. Afin de venir en aide aux élèves du lycée, une cellule de soutien psychologique a été mise en place.
Cellule de crise
La ministre précise également que "le centre de crise du ministère des Affaires étrangères ainsi que nos ambassades en
Malaisie et Chine sont pleinement mobilisés". "Nous sommes en contact permanent avec les autorités locales", a-t-elle notamment indiqué sur LCI.
Une cellule a aussi été mise en place au Quai d'Orsay et un numéro de téléphone -00-33-1-43-17-56-46 est mis à la disposition des proches de personnes susceptibles d'avoir voyagé dans cet avion.
Pour l'instant, les autorités des deux pays estiment que le vol MH370 s'est probablement crashé en Mer de Chine Méridionale. Dans la vidéo ci-dessous, Aviva Fried, la correspondante de LCI en Chine, souligne que les recherches ont été interrompues par la nuit.
 

EN DIRECT. Le vol Kuala Lumpur-Pékin a disparu, avec 239 personnes dont 3 Français à bord

Suivez les évènements en direct sur ce lien....... http://www.20minutes.fr/article/1317650/20140308-asie-malaysia-airlines-perdu-contact-avion-transportant-239-personnes

Parti de Kuala Lumpur, en Malaisie, l'appareil, qui transporte 239 personnes dont trois Français, aurait dû atterrir à 23h30 vendredi (heure de Paris) à Pékin...
7h32: Le Vietnam, la Malaisie et les Philippines envoient également des équipes de recherche
Le ministère vietnamien de la Défense a lancé une mission de secours en coordination avec la Malaisie et la Chine. Les autorités ont envoyé un avion, deux hélicoptères et quatre navires pour fouiller une zone de la mer de Chine méridionale, a indiqué Faridah Shuib, porte-parole de l'Agence de surveillance des affaires maritimes de Malaisie. Les Philippines ont également envoyé trois navires de la Marine et un avion de surveillance.

7h01: Des bateaux chinois dépêchés
Pékin envoie deux navires de secours dans la Mer de Chine méridionale pour commencer les recherches, rapporte la télévision d'état chinoise CCTV.
5h50: Toujours aucune nouvelle du Boeing de Malaysia AirlinesNotre récit de toute l'histoire est à retrouver ici.
5h16: Des détails sur l'équipage du vol MH370
Le Boeing 777-200 est piloté par un Malaysien de 53 ans avec 18.365 heures de vol, qui travaille pour la compagnie depuis 1981, selon un communiqué du PDG de Malaysia Airlines.
5h04: L'appareil aurait disparu des radars alors qu'il survolait le Vietnam
«L'avion a perdu le contact dans l'espace aérien de la province de Ca Mau avant de pouvoir entrer en contact avec le contrôle aérien de Ho Chin Minh-Ville», a précisé un communiqué publié sur le site internet du gouvernement.

5h00: La liste des passagers est affichée à l'aéroport de Pékin

4h48: Le vol affiché comme "retardé" à l'aéroport de Pékin
 

samedi 1 mars 2014

Chine : 27 morts et 109 blessés dans des attaques dans une gare

Vingt-sept personnes ont été tuées et 109 blessées dans des attaques au couteau samedi soir dans une gare du sud-ouest de la Chine, a annoncé l’agence Chine Nouvelle.
Les attaques ont été menées par «des hommes armés de couteaux» dans la gare ferroviaire de Kunming, la capitale de la province du Yunnan, a ajouté l’agence officielle chinoise.

Kunming, anciennement Yunnanfu, est la capitale de la province du Yunnan, en République populaire de Chine. La ville-préfecture est située dans l'angle nord du lac Dian.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/chine-27-morts-et-109-blesses-dans-des-attaques-dans-une-gare-ia0b0n308636

Intempéries : l'état de catastrophe naturelle reconnu dans plusieurs communes du Sud-Ouest

Un "arrêté du 27 février 2014 portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle" a été publié samedi au Journal Officiel. Il porte sur plusieurs communes ayant été touchées par les intempéries qui ont successivement frappé le pays de juin 2013 à janvier 2014.
Plusieurs communes du Sud-Ouest sont concernées par cette reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle. 
>>> Sinistré quelles démarches effectuer ? Cliquez ici pour suivre le guide.
  • Gironde
L'arrêté porte essentiellement sur les inondations de juin et juillet 2007. Voici la liste des communes reconnues en état de catastrophe naturelle :
- Saint-Germain-de-la-Rivière : inondation et coulées de boue du 27 juillet 2013.
- Cadaujac : inondations par remontée de nappe naturelle du 7 au 21 juin 2013.
- Biganos : inondations par remontée de nappe naturelle du 7 au 24 juin 2013.
- Arcachon, Floirac et Saint-Germain-de-la-Rivière : mouvements de terrain du 26 au 27 juillet 2013.
- Saint-Romain-la-Virvée, Vérac : mouvements de terrain du 27 juillet 2013.

En revanche, selon cet arrêté, plusieurs communes se sont pas reconnues en état de catastrophe naturelle. Voici lesquelles :
- La Brède : inondations et coulées de boue du 18 au 20 juin 2013.
- Mérignac : inondations par remontée de nappe naturelle du 25 février au 30 avril 2013.
- Langoiran : mouvements de terrain du 8 au 9 juin 2013.
- Lagorce : mouvements de terrain du 18 juin.
- Noaillan : mouvements de terrain du 18 au 19 juin 2013.
- Cenon et Omet : mouvements de terrain du 26 au 27 juillet 2013.

  • Landes
- La commune de Saint-Paul-en-Born est reconnue en état de catastrophe naturelle pour les inondations et coulées de boue du 9 au 11 juin 2013.
L'état de catastrophe naturelle n'est pas reconnu pour les communes suivantes :
- Tarnos : inondations et coulées de boue du 17 au 20 juin 2013.
- Saint-Paul-en-Born :  inondations et coulées de boue du 17 au 22 juin 2013.

  • Lot-et-Garonne
Plusieurs communes sont reconnues en état de catastrophe naturelle pour les intempéries ayant touché le département entre janvier et octobre 2013 :
- Esclottes : inondations et coulées de boue du 20 au 22 janvier 2013.
- Grateloup-Saint-Gayrand et Montastruc : inondations et coulées de boue du 28 septembre 2013.
- Lavergne : inondations et coulées de boue du 3 au 4 octobre 2013.

- L'état de catastrophe naturelle n'est pas reconnu pour Hautefage-la-Tour pour les mouvements de terrain du 1er janvier au 30 juin 2013.
  • Pyrénées-Atlantiques
La reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle vaut essentiellement pour les intempéries de janvier 2014. Voici les communes concernées :
- Artigueloutan et Soumoulou : inondations et coulées de boue du 24 au 25 janvier 2014.
- Bizanos, Espoey, Gomer, Idron, Lée, Livron, Nousty, Ousse, Pau, Pontacq : inondations et coulées de boue du 24 au 26 janvier 2014.
- Barzun :  inondations et coulées de boue du 25 au 26 janvier 2014.
- Bassussarry : mouvements de terrain du 8 au 9 juin 2013.

  • Gers
- L'état de catastrophe naturelle n'est pas reconnu sur la communes de Plaisance pour les inondations et coulées de boue du 15 janvier au 15 juin 2013

http://www.sudouest.fr/environnement/intemperies/

jeudi 27 février 2014

Lamaghjosu: les chercheurs reconstituent la catastrophe naturelle

Dans la nuit du 9 au 10 février, une avalanche a entraîné un glissement de terrain provoquant la constitution d’un barrage de 30 000 m3, soit 30 000 000 de litres. En cédant, la vague a emporté le pont
Après l'avalanche qui a entraîné un glissement de terrain en amont du pont du Lamaghjosu, une équipe pluridisciplinaire de chercheurs, dirigée par Antoine Orsini, maître de conférence en hydrobiologie à l'université de Corse, a été nommée pour étudier le phénomène et apporter les explications concernant cette catastrophe naturelle.
Tout d'abord, les chercheurs ont travaillé sur le contexte météorologique. Ils ont constaté que dans le courant de la nuit du dimanche 9 au lundi 10 février, de fortes précipitations se sont produites sur le secteur.
Par ailleurs, ces pluies ont été accompagnées d'un important redoux. En dessous de 2 000 m, ces pluies se sont infiltrées profondément dans le manteau neigeux, l'imprégnant parfois jusqu'à la base. Or, il faut savoir que les jours précédents il était tombé entre 30 et 50 cm de neige, voire même 70 cm en versant ouest. En raison de ce redoux, le risque avalanche était marqué et de niveau 3, sur une échelle de 5. Une avalanche spontanée de neige fraîche se produit alors durant les précipitations, « ou très peu de temps après celles-ci », affirme Antoine Orsini. C'est cette avalanche qui a entraîné un glissement de terrain et ce mélange de neige et de matériaux a formé un barrage de 6, 30 m de haut dans le lit de la Restonica, en amont du pont du Lamaghjosu. La morphologie de la vallée glaciaire« vallée en auge ou en U, permet la formation d'un plan d'une largeur d'environ 60 mètres et d'une longueur de plus de 80 mètres. Tandis que le volume d'eau stocké par ce barrage est compris entre 20 000 et 30 000 m3. C'est énorme pour la Restonica », poursuit Antoine Orsini.
35 000 litres par minute
Le lundi 10 février, le débit de la Restonica au Lamaghjosu, estimé à partir des données enregistrées par le limnigraphe installé au pont de Riviseccu, est de 5,4 m3/s. Et le barrage naturel se remplit alors entre 60 et 90 minutes. Sous la pression, le barrage cède et une énorme vague dévale la vallée. Elle est enregistrée par le limnigraphe sur le coup de 13 h 13, exactement. A ce moment précis, le débit passe à 35 m3/s soit, 35 000 litres par minute, tandis que la vague est mesurée à 218 cm. Il faut savoir que la veille, le débit moyen de la rivière était de 3,58 m3/s.
D'ailleurs, des employés municipaux qui se trouvaient à la hauteur de la prise d'eau, à Tuani, ont effectivement vu cette vague de boue. Certes, cette dernière n'a pas submergé le pont, mais au moment où le barrage a lâché, une sorte de lame s'est formée contre un rocher et en plongeant s'est abattue sur le pont entraînant sa destruction. Par ailleurs, les chercheurs s'interrogent également sur le fait qu'une possible secousse sismique aurait pu déclencher l'avalanche.
Outre les conséquences économiques avec l'engagement de travaux de réfection du pont et de la route, cette catastrophe naturelle a également des conséquences écologiques.
En effet, truites et ombles de fontaine ont été entraînés bien plus bas dans la vallée « tandis que les invertébrés aquatiques endémiques ont été emportés. Il sera nécessaire de surveiller dans les jours qui viennent leur reconstitution ». Enfin, cette situation aurait pu avoir des conséquences graves sur les installations d'eau potable de la ville.

http://www.corsematin.com/article/corte/lamaghjosu-les-chercheurs-reconstituent-la-catastrophe-naturelle.1292574.html

mercredi 26 février 2014

Inde: sept marins blessés et deux disparus dans l'accident d'un sous-marin

Bombay - Deux marins indiens sont portés disparus et sept ont été blessés dans un accident de sous-marin au large de Mumbai (est) mercredi, ont annoncé des responsables de la marine indienne.
A la suite de cet accident, le chef de la marine indienne a donné sa démission.
«Endossant la responsabilité morale des accidents et incidents survenus ces derniers mois, le chef de l'état-major de la Marine, l'amiral DK Joshi, a démissionné aujourd'hui», a indiqué un communiqué du ministère.
Les sept marins blessés dans l'accident de mercredi ont inhalé de la fumée et ont dû être évacués par voie aérienne pour être soignés, a dit le porte-parole de la marine, Rahul Sinha.
«Le sous-marin était en sortie de routine au large de Bombay quand de la fumée a été détectée. Des mesures ont été prises pour la contenir», a dit le commandant à la chaîne NDTV.
«Les marins sont soignés sous la surveillance d'une équipe de médecins. Mais je n'ai pas d'autres précisions», a-t-il ajouté.
Des navires ont été envoyés en soutien autour du sous-marin INS Sindhuratna, de fabrication russe, a-t-il précisé.
Les sept marins se sont évanouis après une fuite dans le compartiment des batteries du sous-marin, indique pour sa part l'agence de presse indienne Press Trust of India (PTI).
Deux membres de l'équipage sont par ailleurs portés disparus alors que le sous-marin est en train de regagner son port à Mumbai, a indiqué à l'AFP un responsable de la marine sous couvert d'anonymat.
En août, 18 marins avaient été tués dans l'explosion du sous-marin INS Sindhurakshak, le pire accident connu par la marine indienne depuis 1971.
En janvier, un autre sous-marin, l'INS Sindhughosh, s'était échoué lors de son retour au port de Mumbai.
La marine indienne dispose de 14 sous-marins mais entre sept et neuf sont opérationnels simultanement en raison de réparations et de remises en état.

http://www.20minutes.fr/monde/inde/1309590-20140226-inde-sept-marins-blesses-deux-disparus-accident-sous-marin

Le déroulement de l'accident de Fukushima Daiichi

mardi 25 février 2014

Lendemain douloureux à Isola après l'éboulement

Après l’éboulement qui a coûté la vie à deux enfants de 7 et 11ans, la poursuite de l’enquête est suspendue à la décision du parquet. Tout comme la purge de la paroi rocheuse fragilisée
Anthony Masseglia, 7 ans, devait commencer son stage de foot hier au sein du club de Saint-Jean-Beaulieu. Mais à Isola, la montagne en a décidé autrement. Emporté dans son sommeil dans la nuit de samedi à dimanche. Tout comme Théo Jaffray, 11 ans
Les deux petits garçons, respectivement de Contes et de Nice, et leur famille s'étaient installés en ce premier week-end des vacances scolaires dans la bergerie des Masseglia, transformée en pied à terre.
Mais dimanche, vers 4 heures du matin, un rocher de plusieurs tonnes s'est décroché d'une paroi et a littéralement éventré la bâtisse située au bord de la RM2205.
Les ancêtres avaient construit la bergerie sous un bloc rocheux, se sentant ainsi protégés des éléments. Les enfants y venaient peu.
Ce soir-là, ils s'était couchés à 3 h 30 du matin. Trente minutes avant le drame.
« On est abasourdi. Anthony était inscrit au stage de football qui commençait hier… Je suis… Je n'ai pas de mot. On pense aux familles, on les soutient», indique Stéphane Salomon, directeur du club JSSJB (Jeunesse sportive Saint-Jean-Beaulieu). Anthony Masseglia en était membre depuis deux ans, section débutants.
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« Des petits qui sont la fierté du club, précise le directeur qui ajoute : Anthony venait tous les mercredis…»
Le week-end dernier, avant les matchs de DHR et PHA, une minute de silence a été observée en mémoire du petit garçon de 7 ans.
Quant aux cinq survivants, deux femmes, deux hommes et une adolescente, tous très choqués, ils sont sortis de l'hôpital hier.
Une déviation pour l'accès aux stations
Après les constatations, effectuées dimanche par la gendarmerie, l'enquête, confiée à la compagnie de Puget-Théniers, est pour l'heure figée.
Suspendue à la décision du procureur de la république de Nice. Restituer les corps aux familles ou ordonner une autopsie ?
Idem pour la purge de la paroi rocheuse fragilisée. Opération délicate qui induit l'emploi d'explosifs, mais « nécessaire pour éviter tout accident. Hier encore, quelques cailloux sont tombés. Des cailloux de 30 cm sur 30 », rapporte le capitaine Fabrice Holsenburger, commandant en second de la compagnie.
>>LIRE AUSSI.
À Isola village, la vie, doucement, reprend son cours.
« L'éboulement qui a endeuillé le village n'impacte pas l'accès aux stations. Une déviation a été mise en place », précise le maire Jean-Marie Bogini.

http://www.nicematin.com/faits-divers/lendemain-douloureux-a-isola-apres-leboulement.1635939.html

lundi 24 février 2014

Isola-Village: une enquête a été ouverte pour connaître les causes de l'éboulement meurtrier - 24/02

Un ouvrier japonais brûlé à mort par du métal

Un ouvrier japonais est mort après avoir été brûlé par du métal chauffé à 1.300 degrés, a annoncé la police aujourd'hui.

Kazuki Tada, 23 ans, travaillait samedi près d'une cuve contenant 13 tonnes de métal en fusion d'une usine de Nippon Denko, une grande entreprise métallurgique, à Tokushima (sud-ouest), a expliqué un porte-parole de la police. Cette cuve placée à mi-hauteur a légèrement bougé, relâchant une partie de son contenu à 1.300 degrés Celsius sur l'infortuné ouvrier, qui est mort brûlé, a poursuivi la police.

Une enquête a été ouverte, a ajouté la même source.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/24/97001-20140224FILWWW00070-un-ouvrier-japonais-brule-a-mort-par-du-metal.php

Accidents de ski mortels dans les Pyrénées

Un garçon de 13 ans et un homme de 53 ans ont été tués samedi dans des accidents de ski dans des stations des Hautes-Pyrénées et de Haute-Garonne, a-t-on appris auprès des gendarmes. Dans la station du Mourtis, une station familiale de Haute-Garonne, un jeune garçon de 13 ans a trouvé la mort après avoir perdu le contrôle de ses skis, selon le Peloton de gendarmerie de haute-montagne (PGHM).
L'adolescent, qui ne portait pas de casque, selon les premiers éléments de l'enquête, a percuté un arbre. Il a été héliporté par les secours jusqu'à Toulouse mais est décédé à l'hôpital. Dans les Hautes-Pyrénées, un skieur de 53 ans a été tué dans la station des Cauterets lorsqu'il a fait une chute dans des circonstances encore mal élucidées et est tombé sur la tête, selon les gendarmes de haute montagne.
La victime, dont c'était la première journée de vacances, portait un casque mais est morte sur le coup. Le skieur évoluait sur une piste rouge réservée aux skieurs de bon niveau.


http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Accidents-de-ski-mortels-dans-les-Pyrenees-654205

Violences en Thailande: décès d'un 3e enfant

Une fillette de six ans blessée hier dans une attaque à la grenade à Bangkok est décédée ce matin, portant à trois le nombre d'enfants tués ce week-end lors des dernières violences liées à la crise politique en Thaïlande.

"Une fillette de six ans est décédée", a annoncé l'hôpital de Bangkok où elle avait été opérée. Son frère était décédé la veille lors de l'attaque qui a eu lieu près d'un rassemblement de militants qui réclament depuis près de quatre mois la chute du gouvernement. Il était âgé de quatre ans et non de douze, contrairement aux premières informations, a précisé ce matin le centre de secours Erawan. Samedi, une fillette de cinq ans avait déjà trouvé la mort lors d'une fusillade pendant une autre manifestation antigouvernementale dans la province de Trat, dans l'est du pays.

Avec ces trois morts, c'est la première fois depuis le début de la crise politique en Thaïlande que des enfants sont tués. Le décès ce matin de la fillette de six ans porte le bilan de la crise à 20 morts et des centaines de blessés, dus à des tirs et grenades d'origine inconnue (dont les deux parties s'accusent) ou des affrontements entre police et militants.

La Première ministre Yingluck Shinawatra
a dénoncé hier l'explosion dans laquelle les deux enfants ont été tués à Bangkok comme un acte "terroriste". Elle s'est produite en plein jour dans un quartier qui accueille centres commerciaux et hôtels de luxe, où les manifestants campent depuis des semaines.

Outre la tête de Yingluck, les protestataires réclament la fin de l'influence de son frère
Thaksin Shinawatra, ancien Premier ministre renversé par un coup d'Etat militaire en 2006, qu'ils accusent de continuer à tirer les ficelles depuis son exil. Les législatives anticipées du 2 février n'ont pas permis d'apaiser la crise. Les manifestants, qui veulent remplacer le gouvernement par un "conseil du peuple" non élu, ont perturbé le scrutin et aucun résultat n'a été annoncé en attendant de nouveaux votes partiels, prolongeant le mandat d'un gouvernement condamné à expédier les affaires courantes.

Depuis le putsch de 2006, la Thaïlande est engluée dans un cycle de crises politiques qui fait descendre tour à tour dans la rue partisans et ennemis de Thaksin.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/24/97001-20140224FILWWW00018-violences-en-thailande-deces-d-un-3e-enfant.php